le Bauhaus un Constructivisme moderniste, Le Constructivisme pédagogique cubiste de l'apprentissage de l'ART d'être heureux
monde des métiers artistiques et acquièrent peu à peu la maturité nécessaire pour envisager l'avenir d' une vie et de décider qui l'on ne sera pas,il maîtrisent progressivement les subtilités de l'expression plastique, s'appuient sur une culture générale & artistique qui va leur servir de socle tout au long de leur vie. En outre, la pratique des matières professionnelles va permettre à l’élève de tester ses centres d'intérêt et ainsi de trouver sa voie. une opportunité unique d’explorer le monde des métiers artistiques. Cette formation répond bien sûr aux exigences du programme officiel CAP ÉBÉNISTE
Traditions et transmission Constructivisme et pédagogie active de L'art d'être heureux,que va-t-on faire de tout cela ?bla- bla-bla! et +
traduite par "la maison de la construction"
Elle fut créée à Weimar en 1919, par Walter Gropius, un architecte de 36 ans connu pour son style audacieux : des lignes et des angles droits, des façades en verre, pas d'ornement.
Nommé directeur des deux écoles d'art de Weimar, l'école des Arts appliqués et l'école des Beaux-arts, Gropius décide de les faire fusionner pour créer le "Staatliches Bauhaus zu Weimar", que l'on appellera "Bauhaus".
La grande idée du "Bauhaus", c'est de ne plus faire de distinction entre les beaux-arts, c'est à dire "l'art pour l'art", et les arts appliqués, c'est à dire l'art pour les objets. C'est une philosophie qui était déjà en germe au XIXe siècle, avec des mouvements comme "Arts & Crafts" en Angleterre, ou encore l'Art nouveau.
Au "Bauhaus", on apprend donc à créer des objets à la fois esthétiques, fonctionnels et innovants, destinés à une production en série, pour que l'art puisse entrer dans la vie quotidienne. Les élèves suivent et des cours de théorie artistique, où ils apprennent la forme, la couleur, avec des professeurs comme Paul Klee et Kandinsky et des ateliers techniques : de tissage, de poterie, de métal, de menuiserie, d'imprimerie... Là, ils apprennent les techniques, et créent aussi des prototypes d'objets.
Dans une époque où seulement une partie privilégiée de la population pouvait se permettre le « sur mesure » (par ex. le jugendstil), le Bauhaus s’était donné comme objectif de créer du beau design pratique et accessible à tous.
L’enseignement de l’école reposait sur 6 objectifs :
- Assurer un très bon enseignement artisanal
- Créer des produits d’une qualité exquise du point de vue technique et esthétique
- Accentuer la fonctionnalité des produits
- Fournir des produits abordables grâce aux processus industriels
- Synthétiser les arts plastiques, l’artisanat et l’industrie pour arriver à une œuvre d’art « totale »
- Intégrer l’art dans la vie quotidienne
Dans le style, le "Bauhaus" est très moderne : l'esthétique est simple, épurée, avec beaucoup de matériaux novateurs comme l'acier et le verre. Il y a peu de fioritures. On est dans la lignée des courants d'avant-garde de l'époque, notamment l'art abstrait géométrique : les toiles de Piet Mondrian, ou le constructivisme russe.
L'enseignement
Les étudiants sont accueillis sans limite d'âge ni condition préalable de diplôme. Le programme du Bauhaus rédigé en 1919 par Walter Gropius prévoit l'organisation de l'enseignement aux étudiants. Malgré les évolutions et les adaptations qui auront lieu au cours des 14 ans de l'histoire du Bauhaus, les principes de base resteront à peu près les mêmes.
Au lieu des professeurs habituels, la formation est donnée par des maîtres (Meister). Les élèves s'appellent apprentis (Lehrlinge) et peuvent devenir compagnons (Gesellen) et jeunes maîtres (Jungmeister). Le conseil de maîtrise gère les affaires du Bauhaus et les nominations des jeunes maîtres.
Dans la représentation schématique que fait Gropius en 1922 (voir ci-contre), l'enseignement est présenté sous la forme de trois cercles concentriques visant à atteindre l'étape ultime : la construction (der Bau). La première partie est en un cours élémentaire (Vorlehre) initialement de 6 mois. La seconde partie de 3 ans consiste en un travail d'atelier. Jusqu'en 1925, cet enseignement comporte deux volets : un enseignement de la forme (Formlehre) donné par un artiste, maître de la forme et un enseignement pratique (Werklehre) donné par un maître artisan. Dans le schéma ci-contre chacun des ateliers correspond à un matériau : pierre (Stein), argile (Ton), verre (Glas), couleur (Farbe), tissu (Gewebe), métal (Metall) et bois (Holz). La dernière étape consacrée à la construction ne sera mise en place que plus tard et de manière différente.
Le cours élémentaire vise à donner une formation artistique de base aux étudiants. Initialement d'une durée de 6 mois, il est porté à un an en 1923. Au début du Bauhaus, c'est Johannes Itten qui en est chargé. Après son départ en 1923, il est remplacé par László Moholy-Nagy qui sera lui-même remplacé par Josef Albers en 1928. Parallèlement, cette formation est complétée par des cours comme ceux de Klee ou Kandinsky.
Même s'ils ont évolué au cours du temps, les ateliers pluridisciplinaires du Bauhaus constituent l'un des éléments essentiels de la formation des étudiants. La mise en place d'un double tutorat (maître de la forme etmaître artisan) se fait dès 1920 afin de favoriser le rapprochement entre un enseignement artistique formel et un enseignement pratique . À la création du Bauhaus les ateliers sont : l'atelier de tissage, l'atelier de poterie, l'atelier de métal, l'atelier de menuiserie et de meubles, l'atelier de peinture murale, les ateliers de sculpture sur pierre et sur bois, l'atelier d'imprimerie et enfin l'atelier de reliure . Cette organisation perdurera jusqu'à ce que Meyer crée un atelier de second-œuvre regroupant la menuiserie, le métal et la peinture murale.
Important courant de l'abstraction qui se développe à partir de 1913 environ sur la base du cubisme et du futurisme (mouvement artistique fondé en Italie en 1909 pour la glorification de la civiIisation moderne, du progrès technique et de la vitesse contre la tradition conventionnelle et le passéisme culturel) utilisant exclusivement des éléments géométriques comme le cercle le rectangle ou la ligne droite.
L'interaction des formes crée une tension à l'intérieur du tableau. Le but de l'art constructiviste est d'exclure de l'oeuvre le réel et les référencés au réel, afin d'accéder à une autre forme de réédité esthétique. Le courant ne se limite pas aux arts plastiques ; il implique également l'adhésion à l'évolution de la technique moderne et englobe tous les domaines de l'existence architecture, mode, design.
Les premiers constructivistes sont Malevitch, Rodchenko en Russie ; à la suite de la révolution Russe provenant l'unité entre l'art et la politique, le constructivisme évolue vers une forme particulière à ce pays qui est le suprématisme (mouvement de peinture non figurative fondé en 1913 par Malevitch.
Partant du cubisme il prône une pure abstraction géométrique en se limitant au carré, complète en suite par des triangles et le cercle. La première toile suprématiste est exposée en 1915 : carre noir sur fond blanc.) Indépendamment des constructivismes Russes et parallèlement au suprématisme, se forme en Hollande le groupe De Stijil dominé par Mondrian. Le constructivisme s'étend en Europe et gagne les États Unis après la seconde guerre mondiale. Enfin il est à l'origine de nombreux courant de l'art moderne, l'art cinétique, l'art concret, op art, etc....Le principe du constructivisme n'a pas perdu son impact, est repris périodiquement par de nombreux artistes
Le constructivisme représente une nouvelle forme de pensée dans l'art moderne. Les artistes constructivistes ont préssenti les impératifs du développement d'une société nouvelle. Les problèmes esthétiques sont relégués au second plan ; il s'agit de rendre avant tout "fonctionnel".
A partir des années 20, l'idée constructiviste inspire l'architecture, la sculpture, les arts appliqués. Elle favorise le développement du "design", elle posera les bases de la typographie moderne et fait découvrir la technique du photomontage.
Cette nouvelle volonté constructiviste se manifeste dans les oeuvres de MALEVITCH, RODTCHENKO, elle précise l'idée d'un art de l'avenir qui se doit de rester réaliste et résolument moderne. Associé dans ses débuts avec le mouvement marxiste de la Révolution, le constructivisme est l'expression de cette doctrine qui entend construire une nouvelle société. Le mot "construction" est l'un des mots le plus fréquemment employés à l'époque.
- Architecture - La notion de "structure" apparaît dès 1915 dans les projets de LE CORBUSIER (maison DOM-INO), il définit clairement la nouvelle conception de l'architecture, elle devient une "construction" déterminée uniquement par une structure intérieure et des murs-rideaux . Ce qui compte c'est une structure dynamique et non plus le volume et la ligne. En l919 Walter GROPIUS applique dans ses "gratte-ciel" le principe constructiviste de la structure dynamique (ossature métallique et murs en verre).
- Enseignement - C'est au Bauhaus que les nouvelles idées de l'après-guerre marquent un enseignement tourné vers le rationnel et le fonctionnel. Dans cette école des artistes comme : KANDINSKY, KLEE, MOHOLY-NAGY, GROPIUS forment les plasticiens et les stylistes de la nouvelle époque industrielle.
- Pratique - Dans les années 20 le développement théorique du constructivisme ne s'accompagne que de réalisations modestes. LE CORBUSIER ne construit alors que des villas où il applique l'architecture fonctionnelle "machine à habiter". Ce n'est qu'avec le développement des grandes cités américaines que le constructivisme devient le style du 20c siècle.
- Dans le domaine des arts appliqués le constructivisme a étè la source d'une véritable révolution des principes décoratifs :
- Typographie moderne.
- Photomontage.
- L'image visuelle libérée de son contenu représentatif acquiert la liberté et maîtrisa le langage abstrait.
KANDINSKY construit une iconographie de type abstrait (Bauhaus).
- Meubles BREUER et RODTCHENKO
- Photomontage, pionnier du photomontage.
- Peinture. Le constructivisme fut l'un dès ancêtres directs de l'art abstrait géométrique qui est encore pratiqué par de nombreux artistes. Le plus grand artiste lié au constructivisme fut PIET MONDRIAN.
- Très proche des "codes" cubistes synthétiques, en particulier des sculptures de PICASSO, le constructivisme propose une réorganisation de l'espace à partir des formes et des volumes géométriques.
TATLINE
LISSITSKY formes géométriques sur fonds monochromes.
RODTCHENKO formes dynamiques, géométriques.
Piaget et le constructivisme
Le constructivisme suppose que les connaissances de chaque sujet ne sont pas une simple « copie » de la réalité, mais une « (re)construction » de celle-ci. Le constructivisme s'attache à étudier les mécanismes et processus permettant la construction de la réalité chez les sujets à partir d'éléments déjà intégrés.
La compréhension, constamment renouvelée, s’élabore à partir des représentations plus anciennes d’événements passés, que le sujet a d’ores et déjà « emmagasinées » dans son vécu. En fait, le sujet restructure (« reconceptualise »), en interne, les informations reçues en regard de ses propres concepts : c’est le phénomène de restructuration conceptuelle à travers ses expériences. Cette vision s'inspire des stades piagiétiens .Constructivisme et apprentissage
Dans la vision constructiviste de l'apprentissage, les étudiants sont considérés comme des organismes actifs cherchant du sens, des significations. Apprendre consiste donc simplement à ajuster nos modèles mentaux pour s'adapter à de nouvelles expériences. Si la construction du sens ne peut, au début, n'avoir que peu de rapport avec la réalité (comme dans les théories naïves des enfants), elle devient de plus en plus complexes, différenciée et réaliste au fil du temps.
Principes de base du constructivisme
- Apprendre est une recherche de sens. Par conséquent, apprendre doit commencer par les questions autour desquelles les étudiants essaient activement de construire le sens.
- Comprendre le sens exige de comprendre le tout comme ses parties. Parties qui doivent être comprises dans le contexte du tout. Par conséquent, l'apprentissage se concentre sur des concepts primaires, non sur des faits isolés.
- Pour enseigner correctement, il faut comprendre les modèles mentaux que les étudiants utilisent pour percevoir le monde et les hypotèses qu'ils font pour soutenir ces modèles.
- Le but de l'apprentissage est, pour un individu, de construire sa propre signification, et pas simplement d'apprendre par coeur les « bonnes » réponses pour en recracher le sens à d'autres. La seule manière valable de mesurer l'apprentissage est de l'évaluer, et de fournir de cette manière aux étudiants de l'information sur la qualité de leur apprentissage.
Comment le constructivisme produit un effet sur l'apprentissage
L'enseignement constructiviste est fondé sur la croyance que les étudiants apprennent mieux quand ils s'approprient la connaissance par l'exploration et l'apprentissage actifs. Les mises en pratique remplacent les manuels, et les étudiants sont encouragés à penser et à expliquer leur raisonnement au lieu d'apprendre par coeur et d'exposer des faits. L'éducation est centrée sur des thèmes, des concepts et leurs liens, plutôt que sur de l'information isolée.
Instruction : A partir de la théorie constructiviste, les enseignants se concentrent sur l'établissement de rapports entre les faits et favorisent les nouvelles compréhensions des étudiants. Ils adaptent leur enseignement aux réponses des étudiants et les encouragent à analyser, interpréter et prévoir l'information. Les professeurs s'appuient également fortement sur des questions ouvertes et favorisent le dialogue entre les étudiants.
Evaluation : Le constructivisme tend à l'élimination des catégories et des tests standardisés. Au lieu de cela, l'évaluation devient partie prenante de l'apprentissage de sorte que les étudiants jouent un plus grand rôle en jugeant leurs propres progrès.
Conclusions
Le constructivisme est une manière de penser le savoir, une référence pour construire des modèles de l'enseignement, de l'apprentissage et des programmes d'études. Dans ce sens, c'est une philosophie.
Dans cette perspective, l'enseignement devient l'établissement et le maintien d'une langue et de moyens de communication entre le professeur et les apprenants, aussi bien qu'entre les apprenants eux-mêmes. Présenter simplement le matériel, énoncer les problèmes et recevoir des réponses n'est pas un processus de communication assez raffiné pour un apprentissage efficace.
Certains principes du constructivisme en termes pédagogiques :
- Les étudiants viennent en classe avec une expérience du monde et un apprentissage antérieur long de plusieurs années.
- Même pendant qu'il évolue, un apprenant filtre toutes ses expériences à travers sa conception du monde et cela affecte l'interprétation de ses observations.
- Changer leur vision du monde exige des apprenants un travail important.
- Les étudiants apprennent les uns des autres aussi bien que de l'enseignant.
- Les étudiants apprennent mieux en faisant.
- Permettre et créer pour tous des occasions de se faire entendre favorise la construction de nouvelles idées.
Dans une perspective constructiviste, les étudiants sont actifs dans la recherche du sens. L'enseignement cherche ce que les étudiants peuvent analyser, étudier, et comment ils peuvent collaborer, partager, construire et générer du sens sur la base de ce qu'ils savent déjà, plutôt que quels faits, qualifications ou processus ils peuvent singer. Pour y parvenir efficacement, un enseignant doit être un étudiant et un chercheur. Il doit essayer d'obtenir une plus grande conscience des environnements et des participants dans une situation d'enseignement donnée. Ainsi, pour engager les étudiants dans l'apprentissage, il devra s'ajuster continuellement à leurs actions et s'appuyer sur le constructivisme comme une référence.
Constructivisme-Intelligence –un pari sur l'avenir de la théorie de Jean Piaget. thèmes susceptibles de passer à la postérité : le constructivisme ou comment se construit progressivement un réel intelligible et la réversibilité des actes et/ou de la pensée, source de l'intelligence. Le constructivisme, car il apporte une réponse claire et originale à la question des rôles respectifs du sujet et des objets dans l'élaboration des connaissances ; la réversibilité, parce que cette capacité qu’a le sujet de se saisir des actions disparues des données perceptives et de les composer entre elles pour déduire un élément commun en dépit de leurs disparités reste une conception révolutionnaire de l’intelligence.
Tags : abstraction et développement, Constructivisme Intelligent, projet art conceptuel applique a la pédagogie active
projet art conceptuel appliqué du 00.12.2016
ON PEUT APPRENDRE DE CES ECHECS
Josef Hartwig, maître artisan de l’atelier de sculpture à l’école du Bauhaus de Weimar, créé vers 1923, ce jeu d’échecs dont les pièces en bois sont totalement abstraites, du jamais-vu jusque-là. Si pendant des siècles, le jeu était l’imitation de l’affrontement de deux armées, il est devenu peu à peu de plus en plus abstrait, purement intellectuel. Il n’est plus nécessaire, expliquait Hartwig, de représenter les pièces de manière réaliste. Elles doivent être abstraites et maniables, conformes au sens du jeu. Les formes géométriques symbolisent leurs mouvements sur l’échiquier : les pièces se déplaçant en ligne droite sont représentées par des cubes de tailles différentes ; le cavalier avançant de quatre cases est constitué de quatre cubes imbriqués à angle droit ; le fou, sur les diagonales, est représenté par une croix oblique ; un autre cube surmonté d’un autre plus petit en biais figure le roi, qui lui avance en angle droit et en diagonale. La reine, la pièce la plus mobile, est matérialisée par un cube couronné d’une sphère. « Le pion et la tour se déplacent à angle droit vers le bord de l’échiquier, écrivait-il, mouvement exprimé par le cube ; le cavalier se déplace perpendiculairement, en crochet sur quatre carrés : quatre cubes combinés à angles droits (…) la reine, la figure la plus mobile, est constituée par un cylindre et une boule, elle est en fort contraste avec le roi, la tour et le pion, dont les formes sont cubiques, pour symboliser le lourd et le massif ».
- Echecs: Bobby Fischer et les deux "K" ou la sur la photo "MINI SERIE PRODUCTION FORMATION ÉBÉNISTERIE jeux d'échecs école du Bauhaus" de l'album "CAP ébéniste et arts appliqués en architecture d'intérieur "
légende du jeu d'échecs , l'histoire du roi Belkib
Légendes peu connues du Bauhaus
Une exposition spéciale au Bauhaus-Archiv célèbre les dernières acquisitions du musée.Alma Siedhoff-Buscher, grands blocs de construction navale , 1923Avec l'aimable autorisation de Bauhaus Archiv Berlin / © VG Bild-Kunst BonnAbritant la plus grande collection d'artefacts du Bauhaus dans le monde, le Bauhaus-Archiv Museum für Gestaltung à Berlin présentera 100 nouvelles acquisitions jusqu'au 25 mai.
Les faits saillants parmi les ajouts à la collection sont des photographies et des jouets. Parmi ces derniers figure une marionnette d' Oskar Schlemmer, qui dirigeait l'atelier de théâtre du Bauhaus de Weimar et de Dessau. Schlemmer était un instructeur de dessin de la vie et jouait fréquemment avec la forme humaine en créant des membres qui étaient grands et arrondis au sommet mais qui se rétrécissaient aux points fins, comme dans la marionnette. Blocs de construction de navires jouets conçus par Alma Siedhoff-Buschersera également dans l'exposition. Siedhoff-Buscher était un étudiant au Bauhaus et a continué à enseigner là. Elle a créé des jouets et des meubles pédagogiques pour les enfants, dont beaucoup ont été exposés lors de conférences pour les enseignants de la maternelle et les fournisseurs de services de garde. Les formes de blocs triangulaires de base dans les couleurs primaires joyeuses ont été conçues pour stimuler les jeunes esprits et sont toujours en production.
La photographie de l'exposition comprend une série d'autoportraits de Gertrud Arndt intitulée Mask Portraits , dans laquelle elle est représentée avec différents voiles, et des chapeaux à la recherche stoïque, douce ou ridicule. Nathan Lerner de The Swimmer , un coup de feu d'un nageur nu sous-shot lumière, eau miroitant sera également exposé. Lerner, qui fut le premier étudiant boursier au New Bauhaus de Chicago, s'intéressait au jeu de la lumière dans la photographie et développa la première lightbox. Il est ensuite devenu le directeur de l'Institute for Design.
Nathan Lerner, le nageur, 1935Avec l'aimable autorisation de Bauhaus-Archiv Berlin / © Kyoko LernerLe musée Bauhaus-Archiv a été construit selon les plans du fondateur du Bauhaus, Walter Gropius, qui a conçu les galeries caractéristiques du hangar. Les fenêtres à claire-voie éclairent les espaces d'art reliés par des rampes extérieures et des couloirs intérieurs. Bien que les plans aient été établis en 1964, le musée a été seulement accompli en 1979, avec des révisions étendues au design original de Gropius. Un concours pour une expansion au musée a été lancé il y a dix ans et le premier prix a été décerné à SANAA. Le projet a toutefois été abandonné plus tard en 2009.
À l'heure actuelle, l'espace d'exposition du musée est inférieur à 8 600 pieds carrés, ce qui a fait de la présentation de nouvelles acquisitions un défi au fil des ans. Mais cela va bientôt changer. Berlin a été nommée ville UNESCO du design et le Bauhaus-Archiv attend avec impatience la construction d'une extension qui sera dévoilée en 2019, année du centenaire de l'école du Bauhaus.
Gertrud Arndt, Masque photo Nr. 13 , Dessau 1930Avec l'aimable autorisation de Bauhaus Archiv Berlin / © VG Bild-Kunst BonnMarionnette, 1922, conçu par Oskar Schlemmer et Josef HartwigAvec l'aimable autorisation de Bauhaus-Archiv Berlin / Hartwig KlappertLa lampe de table Kandem Nr. 934 a été conçu par Heinrich-Siegfried Bormann pour Körting & Mathiesen AG, Leipzig en 1932.Avec l'aimable autorisation de Bauhaus-Archiv Berlin / Fotostudio Bartsch
en prestations intellectuelles du transmetteur bluetooth L' ŒUVRES d'arts CONSTRUCTIVISTE de la pédagogie active de L'art d'être heureux eric ochs arbouin sananès
Enseigner imaginer et pouvoir influencer l'avenir du futur
Réussir, c'est s'inventer soi même et renouveler le monde. Apprendre, c'est démonter les idées préconçues, remettre en question des savoirs anciens, c'est s'engager dans l'aventure des savoirs, se jeter dans l'inconnu.
Qu’entend-on par “prestations intellectuelles” ?
Une prestation de service peut s’entendre comme étant une “prestation intellectuelle” à partir du moment où la part de réflexion est supérieure à la part de service. Elle est immatérielle et fait appel à l’imagination et à la créativité.
La prestation intellectuelle consiste à préparer et animer des séances de créativité jusqu'à l'élaboration d'un prototype, puis à assurer la transition avec le développeur de son avenir propre le conduisant au CAP
Contractuellement parlant, c’est un cas de figure où le prestataire ne va pas vendre une marchandise, mais va mettre à disposition de son client son savoir-faire dans un domaine précis. De cette prestation peuvent résulter des livrables.
Les fonctions “consommatrices” de prestations intellectuelles
Dans une organisation, les fonctions prescriptrices engagent des dépenses en prestations intellectuelles. Il s’agit d’une famille d’achat que l’on retrouve dans de très nombreux départements aussi variés que : le consulting, la formation, le recrutement, le coaching, l’ingénierie, les prestations informatiques, la certification, la veille, etc.