11 décembre 2020

expo D'Art singulier , salon des Jeunes pousses de l'art xylographique non désherber par un par un conventionnalisme collectif

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des journée porte ouverte à l'art sur rendez-vous à

L'Atelier Saint Martin , des Métiers d'Art appliqués en architecture DU PATRIMOINE , Salles-de-Villefagnan CHARENTE
un atelier pas comme les autres ou nous parlons de tout et de rien

L'Art singulier est un mouvement artistique contemporain qui regroupe un certain nombre de créateurs, dont certains autodidactes, on volontairement ou non établi une distance avec l'art académique.

L’Art singulier ? Jean Dubuffet L'appelait « Art brut » cette production de « l’homme du commun à l’ouvrage ». Créait pour lui un musée. Et interdisait carrément à quiconque l’emploi de ce mot  Art singulier . L’exposition qui a révélé le mouvement, au musée d’art moderne de Paris, en 1978. Les événements se sont ensuite précipités : à cause de cette interdiction, il a fallu inventer d’autres vocables. Les imaginaires les plus divers se sont mis en branle. Journalistes, poètes, écrivains… ont déployé des trésors de fantaisie. Le tout couronné par l’exposition parisienne de 1978, Les Singuliers de l’Art. L’aventure était sur de bons rails. Et dès lors, l’Art hors-les-normes, l’Art spontané, l’Art différencié, la Création franche…en un mot l’Art Singulier, avançaient irrésistiblement vers une reconnaissance de plus en plus large et passionnée; Candide et son petit Musée du Bizarre (1968). Puis venaient le Musée d’Art brut et la Neuve Invention implanté à Lausanne (1976) ; La Fabuloserie du couple Bourbonnais, Musée d’Art Hors-les-normes (1983) ; l’Aracine de Madeleine Lommel, Musée d’Art brut (1986) ; le Site devenu Musée de la Création franche de Gérard Sendrey (1989) ; l’Art en marche de Luis Marcel (1994) ; la Collection Cérès Franco d’Art contemporain (1994).  le musée de l’Art brut et la Neuve Invention a repris le caractère quasi-sacré des mythes fondateurs !

L'illustrateur dessine directement sur le bloc de bois, le graveur n'ayant plus qu'à intervenir en interprétant avec sa technique propre les différentes nuances. Il arrive souvent qu'une gravure de grand format soit réalisée sur des morceaux séparés, chacun confié à un graveur différent, les blocs étant ensuite assemblés et la gravure terminée par le graveur « chef d’équipe ». On en vient, pour nuancer la profondeur des noirs, à intercaler entre la platine qui assure l'impression et la feuille de papier, un habillage de carton creusé ou renforcé par du papier collé, de manière que la pression soit plus forte aux endroits de la gravure doit être plus noire, ou plus faible dans les zones claires. Cette pratique s'appelle en France la mise en train. Thomas Bewick, déjà, avait mis au point une technique similaire en abaissant légèrement la hauteur du bois dans les zones les plus claires. La xylographie a été pratiquée dès le VII siècle en Chine, puis en Corée et au Japon.

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LA Mise à Niveau en Arts Appliqués offre aux APPRENTIS une opportunité unique d’explorer le monde des métiers artistiques et acquièrent peu à peu la maturité nécessaire pour envisager l'avenir d' une vie et de décider qui l'on ne sera pas,ils maîtrisent progressivement les subtilités de l'expression plastique, s'appuient sur une culture générale artistique qui va leur servir de socle tout au long de leur vie. En outre, la pratique des matières professionnelles va permettre à l’élève de tester ses centres d'intérêt et ainsi de trouver sa voie. une opportunité unique d’explorer le monde des métiers artistiques. formateur en ART DYSLEXIQUE,gravure xylographique imprimerie

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art et expo organiser par luc arbouin

 Pissarro est plus un anarchiste d'idée que d'action. Même s'il participe, en 1899, au Club de l'art social aux côtés d'Auguste Rodin, il est un partisan de l'art pour l'art : Y a-t-il un art anarchiste ? et nous on est qui ?

 L'art peut-il changer le monde, stages marpen

 

le salon prend une nouvelle dimension dans l’art contemporain. l’art à une action éducative susceptible de modifier durablement le comportement . L’œuvre impressionne l’économie psychique d’une certaine manière, mais ne prédétermine pas les interprétations des œuvres, ni les théories qui s’y rapportent. L’art est donc un « langage », une « technique des sentiments » qui prend forme dans l’acte de création. L’œuvre est en ce sens une matrice organisationnelle de notre comportement futur, de nos sentiments et de nos catégories de perception ; elle oriente en quelque sorte les dispositions de la perception.

Avec toujours la même exigence d’exprimer toute la diversité de l’art contemporain, les sélectionnées conserveront leur liberté de choisir  les œuvres qu’ils souhaitent, sans filtre d’une présélection si souvent défavorable aux jeunes artistes.

Stéphane Corréard : « Une collection est comme une bibliothèque : unique, à l’image de sa personnalité »

© Fabrice Gousset

Commissaire d’exposition, critique d’art et actuel directeur du salon « Galeristes » se tenant le weekend du 9 au 10 décembre au Carreau du Temple, Stéphane Corréard possède plusieurs cordes à son arc. Il évoque ici le Prix FILAF (Festival International du Livre d’Art et du Film) qui récompense le meilleur livre d’art édité ou coédité par une galerie.

Pour cette 2e édition de Galeristes, vous proposez le Prix FILAF, récompensant le meilleur livre d’art. Pourquoi cet intérêt pour l’édition ?

Je suis membre du conseil scientifique et je sélectionne les livres en compétition. J’ai toujours été proche du FILAF. C’est un endroit magique parce que il y a une vraie communauté et on y est très bien reçu pendant quatre jours. Il y a des échanges passionnels, car tout le monde parle d’art sans aucun enjeu de business ou d’argent.

Avec le président du FILAF, Sébastien Planas, on a donc eu envie de mettre à l’honneur cette activité qu’ont beaucoup de galeries : éditer des livres de leurs artistes. Beaucoup pensent que les galeries ne vendent que des œuvres. Or, leur travail consiste à soutenir des artistes en faisant leur promotion, en produisant des œuvres, en impulsant des projets, des commandes publiques, mais aussi en participant à la promotion de leur travail par l’édition ou la coédition de livres.

Cette année, ce festival a alors proposé de faire une bouture parisienne en attribuant le Prix FILAF Galeristes au meilleur livre d’art contemporain édité ou coédité par une galerie, ce qui permet de mettre en lumière cette activité remarquable. C’est en effet un investissement important trop peu salué.

Qui est l’invité ?

Yvon Lambert, un ancien galeriste qui a édité des livres avec ses artistes et qui a choisi de finir sa vie comme libraire de livres d’art. C’est un amoureux des livres. On retrouve aussi dans le jury Philipe Apeloig, un excellent graphiste français que j’ai rencontré au FILAF puisqu’il y était venu présenter son livre. Tisser des liens dans la durée avec les artistes et les gens autour de l’art est une autre particularité du FILAF. Un fois entrés dans votre orbite, ils ne vous lâchent plus.

Vous aussi, vous aimez travailler dans la durée.

Oui bien sûr, je pense que c’est même le principal dans l’art : suivre des artistes et travailler avec eux le plus longtemps possible. Ce que j’aime, c’est de pouvoir prendre le temps de travailler avec des artistes que j’apprécie. Je prends le contre-pied de l’agitation constante qui définit le monde de l’art contemporain, c’est-à-dire un monde qui tourne vite.

Je pense aussi qu’il faut résister à cette ère du temps qui consiste à consommer à outrance. Ces dernières années, on relève la redécouverte d’artistes modernes qu’on avait un peu dénigrés et maltraités. Les ringards d’hier peuvent être les stars d’aujourd’hui.

On a une responsabilité vis-à-vis des artistes et c’est une richesse extraordinaire. Je fais souvent la comparaison entre l’art et l’amour. Certains aiment les relations très distendues et d’autres aiment rester avec la personne qu’ils aiment tout le temps. Moi, j’aime ma relation quotidienne avec l’amour et c’est la raison pour laquelle je suis collectionneur et que j’encourage la collection. Ici nous sommes entourés d’œuvres à moins de 1.000 euros, qu’on peut acheter en quatre fois sans frais.

En effet, je pense que la vraie relation avec l’art est une relation intime et quotidienne. Et l’évolution de notre regard au contact des œuvres que l’on possède est particulièrement enrichissante. Par nature, une œuvre d’art est polysémique. Sa profondeur est sans fin. Finalement, c’est comme vivre avec quelqu’un. On découvre cette personne tous les jours.

© SpMillot’17 Mehdi Mendas


Êtes-vous un collectionneur de livres d’art ?

Je lutte, car c’est beaucoup d’accumulation. En même temps, je suis autodidacte. Mes parents ne s’intéressaient pas du tout à l’art je me suis formé dans les livres. Pour moi, c’est majeur. Maintenant, le livre est tellement en connivence avec l’art. Certaines œuvres d’artistes ne peuvent exister que sous ce format. Elles ne doivent leur visibilité que par le livre. Un formidable outil, donc, à côté évidemment des expositions dans les musées, dans les galeries.

Cet intérêt pour le livre paraît général, comme en témoigne l’acquisition du Tate de Londres des livres d’art de Martin Parr. Comment expliquez-vous ce phénomène ?

Cela s’est peut être accentué ces dernières années, mais n’oublions pas que les historiens d’art partent de sources livresques. Ensuite, collectionner, c’est d’abord posséder. Mais en réalité, il y a beaucoup d’autres dimensions. Les collectionneurs sont les premiers conservateurs et parfois, ils sauvent même de l’oubli des œuvres ou des mouvements.

Ainsi, le fait d’accumuler des livres a apporté à Martin Parr une connaissance du champ de la photographie, ce qui lui permet, à son tour, de transmettre et d’attirer l’attention sur des livres méconnus. Et un artiste est très libre, car il fait des choix autres que ceux du Centre Pompidou, par exemple. Entrer dans la bibliothèque d’un artiste, c’est comme entrer dans son cerveau. Cela apporte des informations précieuses sur son travail.

Collectionner serait-il un geste artistique ?

C’est une bonne question. Toutefois, c’est difficile de répondre complétement à l’affirmatif. Cette relation intime qu’on peut avoir avec une œuvre avec laquelle on vit permet de se rapprocher au plus près de l’artiste. Sans en être prisonnier pour autant. Mais accrocher deux œuvres à côté est déjà un geste artistique en soi.

Tous les collectionneurs se posent la question : quel portrait ou quel paysage dessine leur collection ? Pour ma part, je pense la mienne comme une archipel avec des îles qui représentent mes différents centres d’intérêt. En fait, une collection est comme une bibliothèque : unique, à l’image de sa personnalité.

Propos recueillis par Inès Marionneau

les ARTS PLASTIQUES, UN UNIVERS SANS LETTRES OÙ LES DYSLEXIQUES SE SENTENT BIEN____________________________________________________________

_imaginé par eric Arbouin et son environnement____________________la suite bientôt

pensée futile sur la pédagogie active , la cacophonie du non dit

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Commentaires sur expo D'Art singulier , salon des Jeunes pousses de l'art xylographique non désherber par un par un conventionnalisme collectif

  • les ARTS PLASTIQUES, UN UNIVERS SANS LETTRES OÙ LES DYSLEXIQUES SE SENTENT BIEN_________

    Posté par pourtoujours, 11 juin 2019 à 19:43 | | Répondre
  • Lev Vygotski, Psychologie de l'art
    L'œuvre impressionne l'économie psychique d'une certaine manière, mais ne prédétermine pas les interprétations des œuvres, ni les théories qui s'y rapportent...........

    Posté par pourtoujours, 11 juin 2019 à 19:45 | | Répondre
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